Santé physique et école à ciel ouvert

Les enfants québécois à bout de souffle

« En 1982, le kinésiologue Luc Léger et d’autres chercheurs avaient fait passer le test navette – le fameux test bip-bip – à des Québécois de 6 à 17 ans .( … ) Le Dr Leone a (…) décidé de refaire le même exercice 35 ans plus tard, dans les six mêmes villes qu’à l’époque et de comparer les résultats. De 2014 à 2017, avec d’autres chercheurs, ils ont visité 36 écoles à Montréal, Québec, Saguenay, Trois-Rivières, Laval et Sherbrooke. (…)
L’étude conclut à « une baisse alarmante de la condition physique cardiovasculaire et de la capacité fonctionnelle dans une population d’enfants et d’adolescents depuis les années 1980 
».  

Source : La Presse

L’enquête et les entretiens individuels menés dans le cadre du projet de recherche sur les pratiques enseignantes en plein air au Québec par la Chaire de recherche sur l’éducation en plein air (CRÉPA)

« ont permis de documenter l’effet de l’éducation en plein air sur l’adoption d’un mode de vie plus actif chez les élèves. Globalement, les résultats montrent que l’éducation en plein air permettrait aux élèves, indépendamment du domaine d’apprentissage, d’être moins sédentaires. »

Source : Rapport de recherche Pratiques enseignantes en plein air en contexte scolaire au Québec : au-delà de la pandémie de COVID-19


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